Pourquoi la précision de Curry a chuté

La chute n’était pas aléatoire

J’ai passé des nuits à analyser les cartes de tir de 2017 à 2024 — chaque décimale calibrée, chaque passe traquée. Curry n’a pas perdu sa touche par la vieillesse ; il l’a perdue parce que les défenses se sont transformées en réseaux neuronaux pour étouffer son rythme. Le « hot spot » n’était pas là où il tirait — mais là où on l’a arrêté.

La défense est devenue un échiquier

En 2017, les adversaires lui laissaient de l’espace comme de l’oxygène. En 2021, ils ont restructuré leurs zones avec une précision chirurgicale : double-équipe sur les zones à fort enjeu, obscurcissant ses angles de tir avant le shoot. Pas de fioritures. Juste des cartes thermiques et des probabilités de victoire. La ligue n’a pas changé — il a changé.

Le silence du décalage spatial

Le « west » — la ligne fondamentale de la gravité offensive — n’était plus sacrée. Les adversaires traitent maintenant son pull-up comme une variable dans un système calibré pour ralentir son élan. Chaque affichage révélait la même histoire : quand vous compreniez vraiment les chances, vous arrêtiez de tirer là.

Les probabilités ne mentent pas

Je ne vous console pas avec nostalgie. Je vous rends plus intelligent en vous montrant ce que les chiffres murmurent à 3h du matin pendant que le monde dort. Son efficacité a chuté parce que les défenseurs ont appris à le prédire — pas parce qu’il faiblissait, mais parce qu’ils ont affiné leur géométrie.

Le murmure du prophète

Ce n’est pas une chute — c’est une adaptation. Vous ne pouvez pas corriger cela avec plus d’émotion ou d’espoir mensonger. Seules les données entendent la vérité — et elle dit : le prochain tir ne sera plus ouvert.