Les chiffres ne mentent pas

Lorsqu’Oklahoma City a déployé sa défense totale lors du quatrième quart-temps du match 4, mon système de suivi s’est illuminé comme un spectacle lumineux. Le pourcentage de passes décisives des Pacers est passé de 68% à 41% - exactement la chute statistique que nos modèles prévoyaient face aux équipes basées sur le jeu en mouvement.

Métrique clé: Haliburton/Nembhard/Nesmith n’ont combiné que 0,78 point par jeu isolé (moyenne de la ligue : 0,92). Pendant ce temps, SGA et Jalen Williams ont dominé avec 1,24 PPP. Ce n’est pas du basketball - c’est de l’arithmétique.

Pourquoi la défense fonctionne contre les équipes qui passent

1. Élimine les écrans: Indiana a réalisé 23 pick-and-rolls en moins lors du match 5 par rapport à leur moyenne.
2. Crée des déséquilibres: Nembhard a défendu SGA pendant 14 possessions - Thunder a marqué sur 11 d’entre elles.
3. Guerre psychologique: Même Tyrese Haliburton a hésité à attaquer (baisse de 18% dans ses tentatives dans la raquette).

La simplicité d’avoir deux finisseurs

Mark Daigneault a simplifié cette série :

• Ne pas aider les shooteurs.
• Tout switcher.
• Laisser ses stars briller.

Comme aux échecs : parfois, vous n’avez pas besoin d’ouvertures complexes quand vous avez les meilleurs pièces.

À surveiller pour le match 6

Les Pacers tenteront :

• Plus de jeux depuis la ligne de fond.
• Des fautes offensives précoces (attention aux chutes de Myles Turner).
• Des zones défensives (que SGA a dominées avec 1,4 PPP cette saison).

Mais avec seulement 98,3 points permis par OKC dans cette configuration ? Apportez le champagne.

Note : Toutes les stats incluent les données jusqu’au 15 juin, filtrées pour les moments clés (5 dernières minutes, écart ≤5).