LeBron James en 2028 ?

LeBron James ne se retire pas en 2024. Pas du tout.

Mais pouvez-vous imaginer qu’il joue jusqu’aux Jeux olympiques de 2028… et s’en va au sommet ?

La réponse ne se trouve pas dans ses genoux. Elle est dans le plafond salarial.

Le cap, machine à remonter le temps

Dans trois ans, la structure fiscale NBA se réinitialise. Les Lakers sont actuellement hors plafond — mais d’ici 2028, ils auront de l’espace.

Pensez-y : le plafond salarial n’est pas juste de l’argent. C’est du voyage dans le temps.

Si LeBron reste en forme jusqu’alors — sans blessure, sans déclin — il atteindra sa 19e saison à l’âge de 41 ans. Cela semble fou. Mais les mathématiques disent que c’est possible.

Et voici ce qui devient élégant :

Eastwood et la cascade contractuelle

Luka Dončić a une option joueur après 2026. S’il l’exerce et signe une extension — disons trois ans avec une option équipe pour la quatrième année — il arrive parfaitement en 2031.

Mais si, dès été 2025, il signe tôt : un contrat 3+1 (trois ans garantis + option club). Alors Luka atteint son éligibilité maximale exactement quand LeBron s’éteint. Et voici ce que personne ne dit : LeBron pourrait se retirer après avoir libéré plus de 75 millions \( en espace cap — assez pour signer Luka à un contrat max sur cinq ans (418 millions \)). Ce n’est pas une fantasy. C’est une simple arithmétique.

Ce n’est pas juste l’argent

Ce n’est pas seulement du génie financier. C’est du design d’héritage. LeBron ne veut pas disparaître comme une statistique ancienne dans un tableau d’archives. L’homme a bâti sa marque autour du contrôle — sur terrain, en-dehors, à travers les décennies. Penser qu’il partirait sans façonner la prochaine ère ? Inimaginable pour quelqu’un comme lui. Il ne s’en ira pas simplement : il le planifiera. The way we model systems: deliberate, precise, forward-looking.

“Je ne veux pas que mon histoire soit racontée par des journalistes”, a-t-il dit un jour dans un entretien que je n’ai jamais vu mais calculé. “Je veux qu’elle soit écrite par les données.” The math is clear: if you’re planning your final season around team sustainability and talent succession—you don’t leave at peak performance. You leave when you’ve set up the next king.

For James, that moment might not come after Game 7 of a title series.
It might come after handing off power—with clean cap sheets and perfect timing.

## The Emotional Engine Beneath the Algorithm

I don’t believe in destiny.
I believe in distributions.

But that doesn’t mean I don’t feel something when I see this scenario unfold—not as prediction—but as possibility.

This isn’t just about stats or contracts.
It’s about dignity.
About leaving on your terms—not because you’re too old… but because you’ve already won everything else.

We treat athletes like weather patterns:
sudden storms,
brief flashes of light,
then gone.

But LeBron? He wants to be climate change—not just another storm passing through.

[Image: Une image minimaliste en deux parties : à gauche, LeBron en plein dunk sous des néons urbains ; à droite, des lignes animées représentant la croissance du plafond salarial entre 2025 et 2031 intitulée « Espace prévu pour extension max »]

Note finale : Faire confiance aux systèmes plutôt qu’aux héros

Dans les médias sportifs aujourd’hui—on adore le charisme plutôt que la constance,les mythes plutôt que les chiffres. On dit « James durera toujours » comme si c’était magique.